Différentiel arrière : remise en forme sans chirurgie lourde

Après le train et les freins, c’est au tour du différentiel arrière de passer sur la table d’opération. Bonne nouvelle : il est fonctionnel, donc inutile de l’ouvrir complètement et de risquer d’y découvrir un enfer mécanique. Mauvaise nouvelle : il avait quand même bien besoin d’un coup de frais.

Au programme : passage en microbillage pour virer toute la crasse accumulée depuis 30 ans, remplacement des joints spy et des joints de l’actionneur, histoire d’éviter que l’huile ne décide de s’échapper à la première occasion. Les vis sont également remplacées, et une bonne vidange vient compléter le tout.

Le visco-coupleur, lui, a aussi droit à son traitement esthétique : microbillage puis peinture partielle, juste ce qu’il faut pour lui rendre une apparence présentable sans le transformer en objet de décoration.

Résultat : un différentiel propre, étanche, et prêt à reprendre du service. Pas de chirurgie lourde, juste une bonne cure de jouvence.